Description
La bombe est jetée : l’Allemagne ne serait pas la coupable de la Première Guerre Mondiale, comme l’ont prétendu ses vainqueurs. L’économiste, juriste et historien Philippe Simonnot, ex-chroniqueur au journal Le Monde, remet fondamentalement en cause l’historiographie française. Sans se faire d’illusions sur les impasses de la diplomatie de l’époque wilhelmienne, Simonnot prouve l’existence d’un accord secret entre la France de Poincaré et la Russie tsariste dont le double objectif était de permettre à la France de récupérer de force l’Alsace et la Lorraine, et à la Russie de se rendre maîtresse de Constantinople/Istanbul et des Détroits. Pour ce faire, Simonnot consulte des analyses historiques restées tabou en France jusqu’à présent. Le lecteur de ce livre va comprendre à quel point la responsabilité de la Première Guerre mondiale a été rejetée sur l’Allemagne non seulement par les auteurs du Traité de Versailles, mais aussi ensuite par les politiciens et les historiens, pour des raisons peu nobles. Philippe Simonnot remet en question la thèse qui reste « officielle » aujourd‘hui encore. « L’amitié franco-allemande est suffisamment mûre pour supporter la vérité », dit-il en clignant de l’oeil.